Les Larmes rouges Tome 3 : Quintessence de Georgia Caldera

Résumé : Alors que la relation d'Henri et Cornélia connaissait enfin une accalmie après les épreuves, L'arrivée d'un fantôme du passé fait voler toutes leurs certitudes. Ces retrouvailles peuvent-elles être encore plus dangereuses que le Roi Sombres lui-même ?

Critique : J'étais très pressée de lire ce tome 3 mais mon libraire m'a fait languir... J'ai dû attendre 2 semaines après sa sortie pour l'avoir dans les mains ! A peine touché que déjà commencé !! J'étais contente de retrouver Henri et Cornélia d'autant plus qu'on nous avait laissé à la fin du deuxième tome devant un fantôme du passé qui n'est autre que le mari de Cornélia : Maxime. Je ne spolie pas car l'auteur nous le dit dès les premiers paragraphes et on s'en doutait quand même beaucoup... Donc, Maxime est de retour, sacré coup pour Henri qui n'a pas du tout envie de laisser sa place à ce fantôme, et d'ailleurs ne serait-il pas un espion du Roi Sombre ? Pourquoi refaire surface maintenant ? Cornélia va devoir faire un choix mais choisira-t-elle Henri, son amour d'aujourd'hui ou Maxime, son ancien amant et mari pour lequel elle s'était suicidée ?

Si dans le premier tome de la série, les rêves de Cornélia étaient centrés sur les souvenirs de sa vie passée, dans le tome suivant sur ceux de Henri, dans ce tome la jeune femme trouve le moyen de plonger dans le passé du Roi Sombre lui-même... Cornélia va se trouver devant un dilemme : n effet, si le Roi Sombre est tué toute sa progéniture va mourir avec lui, y compris Henri et ses amis... On retrouve une Cornélia plus mâture qui n'hésite pas à donner de sa personne pour sauver ceux qu'elle aime en toute connaissance de cause. J'ai beaucoup aimé ce dernier tome et je suis ravie que Cornélia est fait le bon choix dans ces prétendants : il faudra lire ce tome pour savoir lequel des deux Cornélia a choisi ! =)

Je pense que je vais lire d'autres livres de cette auteur ! Bonne lecture !

Extrait : 

- Ton pouvoir est ce qu'il est, certes tu es très puissante, ais tu es également très faible, fit-il valoir sans cesser de la menacer du doigt. Ce ne serait que pure démence de ta part que d'escompter te mesurer à lui. Trouverait-ion son repaire - à condition qu'il y soit encore - et arriverait-on jusqu'à lui, que jamais il ne te laisserai le temps ne serait-ce que d'appeler le feu destructeur. A peine te présenterais-tu devant lui que tu serais déjà son esclave, captive de son emprise pour l'éternité !

- Mais ensemble... essaya-t-elle vainement de plaider.

Avant d'être aussitôt interrompue :

- J'ai dit non !