lundi 27 octobre 2014

La femme aux fleurs de papier de Donato Carrisi

Résumé : La nuit du 14 au 15 avril 1912, tandis que le Titanic sombrait au beau milieu de son voyage inaugural, un passager descendit dans sa cabine de première classe, revêtit un smoking et remonta sur le pont. Au lieu de chercher à sauver sa peau, il alluma un cigare et attendit la mort.
Le 14 avril 1916, dans les tranchées du mont Fumo, quatre ans jour pour jour après le naufrage du Titanic, un soldat italien est fait prisonnier. À moins qu’il ne révèle son nom et son grade, il sera fusillé le lendemain à l’aube. Jacob Roumann, médecin autrichien, n’a qu’une nuit pour le faire parler. Mais le prisonnier veut diriger l’interrogatoire. Sa vie, décrète-t-il, tient non pas à une, mais à trois questions :

« Qui suis-je ?

Qui est Guzman ?
Et qui était l’homme qui fumait sur le Titanic ? »

De cet instant se noue entre les deux ennemis une alliance étrange autour d’un mystère qui a traversé le temps et su défier la mort.

Critique : Je me suis jeté sur le dernier Donato Carrisi dès que je l'ai vu, malheureusement j'ai été déçu, ce n'est pas un thriller psychologique bien sanglant comme il nous y a habitué... Je l'ai tout de même lu puisque j'adore l'auteur, je me suis dit que j'allais retrouvé son écriture. L'histoire se passe pendant la guerre 14-18 sur le Fumo où une bataille oppose les Autrichiens aux Italiens. Un italien se fit capturer par le camps autrichien et Jacob Roumann, médecin, est le seul à parler suffisamment italien pour l'interroger et connaître son nom et sa fonction. Ce début est le prétexte adopté par l'auteur pour nous faire découvrir un conte car il s'agit bien de cela, l'italien va conter l'histoire de Guzman à Jacob Roumann, qui va être littéralement absorbé/hypnotisé par cette histoire et nous avec... Les différentes interruptions nous font languir, il nous faut absolument connaître  la fin de l'histoire ! J'ai lu ce livre d'une traite, ce n'est pas du tout le genre de livre que j'ai l'habitude de lire mais il m'a complètement absorbé jusqu'à ce que j'arrive au bout ! A lire absolument !

Extrait :
Ils rirent longtemps. Entre larmes et sanglots, ils se calmèrent enfin.
Quand le fou rire s'épuise, il laisse toujours quelque chose derrière lui, pensa le médecin de guerre. Comme l'orage qui dépose un souvenir frais d'humidité.
Ce qui reste d'un fou rire est de la gratitude.

Bonne lecture

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Mon blog se nourrit de vos commentaires, alors n'hésitez surtout pas à lui donner à manger !!!
Merci à vous !